Le mode le plus courant pour parler de mouvement en architecture à longtemps été le cinéma, soit la multiplication et le séquençage d'images fixes.
Le problème de ce modèle est que l'architecture occupe le rôle d'un cadre statique à travers duquel le mouvement progresse. Force et mouvement sont éliminés de la forme, pour être réintroduites, après coup, par les concepts et les techniques de l' " optic procession ".
Les techniques contemporaines d'animation informatique, ainsi que celles empruntées à l'aéronautique ou l'automobile permettent, au contraire, d'attribuer à la forme dés le stade de conception par des paramètres de forces ouverts et variables dans le temps.
L'objet peut alors, en quelque sorte, représenter un mouvement.
Les expérimentations de capture du mouvement se retrouvent dans les toiles des cubo-futuristes tels que Duchamp ou Boccioni, ainsi que dans les chronophotographies de Etienne Jules Marey, par la superposition de cadres temporels au sein d'un même espace, créant un " palimpseste temporel ".
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Cinématique
Voir aussi :
Greg Lynn, Animate Form, Princeton Architectural Press,1998.
Lien web : http://www.glform.com/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9matique
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